Pauline Laigneau

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Book Club #Novembre 2019 – Jonathan Livingston Le Goéland, Richard Bach

Bienvenue dans le 2e épisode du Book Club du Gratin.
Mon ambition : partager mon amour de la lecture et découvrir avec vous des mondes inconnus, même le temps d’un chapitre.

Alors concrètement comment ça marche ? 

  • Tous les 1ers dimanches du mois, je vous dévoilerai le livre que j’ai sélectionné pour le Book Club.
  • Nous aurons un mois pour échanger sur cet ouvrage, s’il vous a plu ou non, pourquoi, ce qu’il a suscité comme réflexion chez vous.
  • Quand vous aurez terminé le livre donc, j’aimerais vraiment avoir vos remarques ou réflexion sur l’ouvrage : mettez-les mois soit sur Instagram, LinkedIn ou Twitter avec le hashtag #LeGratinBookClub
  • soit directement sur le blog du gratin en commentaire de l’article afférent.

Quel est le livre du mois ?

Le Book Club du Gratin
Le livre a initialement été rédigé en anglais, et je vous invite bien sûr à le lire dans sa version originale si vous le pouvez. Mais la version française – que j’ai lue également – est très bien traduite, n’ayez pas d’inquiétude.

Jonathan Livingston le Goéland, c’est l’histoire d’un oiseau.
Mais pas un oiseau comme les autres.
Un oiseau qui ne pense pas qu’à trouver de quoi manger.
Sa passion à lui c’est de voler. Toujours plus loin, toujours plus vite, toujours plus haut.

Les autres Goélands ne comprennent pas pourquoi Jonathan s’entête à vouloir perfectionner son vol. Ils se méfient de son amour déraisonnable pour la liberté. Pour quelque chose d’aussi inutile que de “bien” voler.

Jonathan le Goéland est un livre sur la liberté, un livre sur l’apprentissage et la connaissance de soi.

Cependant comme tous les grands livres, Jonathan le Goéland ouvre milles et une portes et chacun y trouvera celles qui lui parlera le plus :
  • le regard réprobateur d’une communauté, quand on n’entre pas dans le rang
  • la sagesse de ne pas à son tour sombrer dans l’antagonisme lorsque l’on se fait juger
  • la passion de la transmission à de plus jeunes générations
  • et le pouvoir merveilleux d’une grande amitié

Au fond, c’est cela que font les grands livres, surtout quand ils sont partagés. Ils éclairent le déroulement de nos propres histoires.

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3 commentaires

    • Malheureusement Jonathan a été victime de son succès et je dois dire que la version papier en anglais est fort chère :-/ mais le prix Kindle est déjà beaucoup plus raisonnable !

  1. Merci Pauline pour cette nouvelle proposition. Ce livre m’avait marqué à l’adolescence. J’y avais découvert la passion de réaliser son potentiel, en écoutant sa voix intérieure, sans s’arrêter aux critiques des autres… C’est un livre qui permet de donner du souffle à nos ambitions en s’autorisant à croire que tout est possible. Quelques pages de liberté absolues que l’on dévore d’un trait !
    J’y avais trouvé également un parallèle avec l’allégorie de la caverne de Platon : un être humain sort de l’obscurité, découvre la réalité à la lumière du jour et revient apporter cette vision à ceux qui sont restés prisonniers. Jonathan le goéland prenait ainsi la place du philosophe explorateur des Idées.
    La relecture m’apporte beaucoup plus clairement une nouvelle dimension, métaphysique cette fois : le sens de la vie est d’apprendre, transmettre, et au final d’aimer. L’expérience terrestre (en une vie ou plusieurs) ne serait qu’une étape initiatique pour apprendre à dépasser nos croyances limitantes. La réalité n’est pas celle que l’on croit habituellement. Il faut voir au-delà du corps physique et de l’ego. Richard Bach rejoint ainsi la pensée des sages hindous ou bouddhistes. Une nouvelle fois : lecture très inspirante !

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